Nous devons être le changement que nous voulons voir dans le monde!

Citation de Gandhi! Nous avons tous en nous le "pouvoir" de changer les choses, faut il encore en etre conscient!


samedi 29 septembre 2007

Soutenez les manifestants birmans

Après des décennies de dictature, la population birmane se soulève et elle a besoin de notre soutien. Les marches ont été entreprises par des moines et des religieuses et ont cumulé avec des centaines de milliers de manifestants dans les rues. Maintenant, la répression semble imminente Lors de la dernière protestation en 1988, les militaires ont assassiné des milliers de manifestants. Mais cette fois-ci, les choses peuvent être différentes si nous appuyons cette lutte. Nous ferons parvenir notre pétition aux pays membres du Conseil de sécurité de l’ONU – particulièrement au président chinois Hu Jintao, le protecteur principal de la dictature - et aux médias présents à l'ONU cette semaine. On doit donner notre soutien aux Birmans:

Au président chinois Hu Jintao et aux membres du Conseil de sécurité de l’ONU : Nous soutenons les citoyens birmans manifestant pacifiquement. Nous vous demandons de vous opposer aux gestes violents commis envers les manifestants et nous sommes en faveur de la réconciliation et de la mise en œuvre de politiques démocratiques en Birmanie. Nous vous tiendrons responsables pour toutes les violences commises contre les participants aux protestations.
Agissez immédiatement pour appuyer les manifestants


542,614 personnes ont appuyé les Birmans. Aidez-nous à atteindre 1000000
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lundi 24 septembre 2007

Grenelle de l’environnement : une électricité verte pour les surendettés ?

mercredi 19 septembre 2007.

Dans le cadre du Grenelle de l’Environnement, l’association Ecologie sans frontière (ESF) a proposé la mise en place d’une livraison d’électricité verte, gratuite ou proportionnelle à leurs revenus, aux foyers surendettés.

Partant du constat que chaque année au moins, 300.000 familles sollicitent une aide sociale pour le règlement de leur facture d’énergie, pour un montant total de 46 millions d’euros, ESF parle d’une « première mesure écolo-sociale ». Elle serait prise en charge par les organismes contribuant aux Fonds de Solidarité Energie, les organes de promotion et fournisseurs d’énergies renouvelables, ainsi que les fonds qui financent la prise en charge du surendettement. « Ces familles en situation de précarité, voire de pauvreté, doivent pouvoir bénéficier des énergies renouvelables : les ressources solaires et éoliennes sont par définition des biens communs à tous », souligne l’association dans un communiqué.

D’autre part, cette mesure apporterait un « vrai coup de pouce aux énergies renouvelables en France », selon Franck Laval, le président d’ESF. Proposée par l’association et le président du groupe des Verts au conseil de Paris René Dutrey, elle sera soumise en octobre au Grenelle de l’Environnement.

Source : AFP

Voir en ligne : Le site Internet d’Ecologie sans frontières
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jeudi 20 septembre 2007

L'Amazonie asphyxiée par le soja

Le petit avion a pris son envol. La forêt s'étend à perte de vue, tête immense dont la chevelure tutoie le ciel. L'Amazonie. Le poumon de la planète. La forteresse verte. D'un coup, la déchirure. La forêt s'ouvre. Blessée. Rasée. Le poumon tousse. La forteresse se fissure. Le paysage est soudain désolé. Des troncs abattus jonchent le sol, les plus résistants n'exhibant plus qu'un moignon noir de fumée. La terre laisse apparaître sa dernière couche, griffée à mort par les sillons des cultures. Parfois émerge encore de la marée des champs, solitaire et incongru, le tronc d'un châtaignier. Un survivant.
L'Etat du Para sera-t-il bientôt aussi dépouillé que son voisin, le Mato Grosso ? Depuis janvier 2003, date d'arrivée de Lula au pouvoir, 70 000 km2 ont été sacrifiés au soja, l'un des plus féroces ennemis de la forêt brésilienne. Au début des années 1980, il poussait essentiellement aux Etats-Unis, qui assuraient 90 % de sa diffusion. En 2003, les exportations combinées du Brésil et de l'Argentine sont passées devant. L'immense pays de Lula est devenu la patrie du nouvel or vert.

Trois grosses sociétés américaines ont vu venir la manne : ADM, Bunge et Cargill. Cargill a même installé à Santarem, troisième ville amazonienne, un port. Complètement illégal. Tous les mois, deux cargos en partent en direction de l'Europe, emportant chacun 90 000 tonnes. "Le soja dévore l'Amazonie. Je ne reconnais plus ma ville", dit Cayetano Scannavino, membre de l'ONG Santé et bonheur.

Dans les rues de Santarem, on voit de plus en plus de gros 4×4, conduits par des gauchos venus du sud du pays. Depuis qu'un rapport de Greenpeace, "Eating up the Amazon", a mis le feu aux poudres, des autocollants ornent beaucoup de voitures "Greenpeace dehors. L'Amazone est aux Brésiliens". La tension est palpable. A la Cooper Amazon, société qui distribue des fertilisants, Luis Assuncao, le directeur, ne cache pas sa haine : "Ici, maintenant, c'est la guerre. Une guerre froide."

Au Mato Grosso, le gouverneur de l'Etat, Blairo Maggi, propriétaire de l'usine Amaggi, est l'un des plus gros producteurs de soja au monde. Il a construit une ville entière, Sapezal, pour loger sa main-d'oeuvre, fait bâtir à Itacoatoara un port en eau profonde, et proposé pour faciliter le transport de bitumer à ses frais 1 770 km de la route BR163. Quand on lui parle déforestation, Blairo Maggi ironise sur la taille de l'Amazonie et affirme que la culture du soja est "bénéfique". Du moins le faisait-il quand il acceptait encore de parler aux journalistes, tous suspects désormais d'être des "sous-marins" de Greenpeace.
Retour au Para. Comme tous les dimanches, il y a fête à la fazenda Bela Terra près de Santarem. Le cuisinier fait griller de gigantesques brochettes. La bière coule à flots. Les hommes sont à peine endimanchés, les femmes s'assoient à table en égales. C'est un joyeux brouhaha, une réunion de clan. L'entrée est fermée par une grille blanche, un panneau signale la présence de deux chiens méchants.

Entre eux, les producteurs de soja, les sojeiros rigolent, parlent affaires, se serrent les coudes. Devant l'étranger, la méfiance est de mise. Otalhio, 33 ans, fournit des fertilisants et des engrais. Le visage bouffi, il engouffre d'épaisses tranches de viande. Sa mère est brésilienne, son père uruguayen, et ils vivent encore près de la frontière, 5 000 km plus haut. "C'est dur, je ne les vois plus." Il écrase une larme. Puis se fâche. "On nous appelle les gauchos, les bandits, les voleurs..." D'une main conquérante, il montre le sol. "Les gens ici ne font rien de leur terre. Ils restent parce qu'ils ne peuvent pas faire autrement. Ils veulent avoir la télé et aller en ville. Nous, on leur propose une autre manière de vivre."

Tonio Antares, propriétaire de quelques milliers d'hectares, revendique lui aussi ce droit à massacrer son pays. Petit, les yeux vifs, la peau rougie par un soleil qu'il n'apprivoisera sans doute jamais, il reste convaincu d'apporter avec lui prospérité et civilisation. "Le pays appartient aux Brésiliens. Nous venons aider cette région à se développer."
Mais à qui profite ce développement ? Marcello da Silva a acheté deux pelleteuses et les loue aux exploitants contre un pourcentage de la récolte. De décembre à avril, il est dans le Mato Grosso, de mai à août dans le Para. Le reste du temps, il conduit des convois. Grand, costaud, les yeux bleus, il évoque plus le cow-boy Marlboro que l'Indien de la forêt. Un peu rustre, peut-être, prompt à aligner les bières. Mais confiant en son étoile. Le soja le rendra riche, il en est sûr. Sa femme, Patricia, veut acheter du terrain. Beaucoup de terrain. "Les Américains vont commencer à planter de la canne à sucre. Là, on va gagner beaucoup." Ils vivent à Santarem, aimeraient avoir des enfants. L'avenir leur sourit.

Mais rares sont ceux qui tirent leur épingle du jeu. Le coût social payé à la petite plante est très lourd. L'Amazonie s'est peuplée par à-coups, sur des promesses non tenues qui, de boom du caoutchouc en construction de la Transamazonienne, ont fait venir les miséreux du Nordeste et du Minas Gerais. Ils ont pris des terres, les ont ensemencées, n'en ont jamais eu les titres de propriété. Depuis ils végètent, prisonniers de ce qu'on appelle pudiquement l'"agriculture familiale". Une proie idéale pour les sojeiros, surnommés à Santarem les "sujeiros" ("salisseurs").

Tout au long de la BR163, la même histoire s'est répétée. Des hommes sont venus, ont demandé à ces petits exploitants de partir en leur montrant des titres de propriété. D'où les tenaient-ils ? Souvent de l'Incra (Instituto Nacional de Colonizaçao e Reforma Agraria), où la corruption permet l'achat de faux certificats, mis à vieillir dans un tiroir avec des grillons. "Ces gens n'avaient aucune culture de l'argent, explique le Padre Edilberto Sena, infatigable militant écologiste. Ils ont vendu à bas prix, et tout claqué. Ils se sont retrouvés démunis, et sans outil de travail."

Au kilomètre 38, Marlène Nascimento de Lima pleure ses terres perdues. "J'ai du mal à repasser devant chez nous. Il n'y a plus que des champs. Quarante familles vivaient là..." Elle avait commencé par refuser de vendre. Mais les sojeiros ont acheté les terrains limitrophes au sien. La vermine, chassée par les pesticides, a envahi son champ. Ses voisins sont partis, elle a fini par céder...

La violence a eu sa part dans ces conquêtes. A Pacoval, en 2004, à deux heures de piste de Santarem, vingt-cinq maisons ont brûlé. A Corte Corda, deux syndicalistes ont été tués. A Belterra, ancienne capitale du caoutchouc, on a "forcé" beaucoup de gens à partir... A Santarem, Ivete Bastos, présidente du syndicat des travailleurs de la terre, a un jour trouvé des femmes avec de l'essence devant chez elle, prêtes à mettre le feu à la maison... Un ancien légionnaire espagnol, propriétaire d'une salle de musculation à Santarem, se vante d'exécuter des missions de nettoyage pour les "fazendeiros". Dans la périphérie se multiplient les bidonvilles de bois construits sur des terrains abandonnés.
Régulièrement, la police brésilienne fait une descente dans les grandes propriétés et en délivre des esclaves. On les a fait venir en leur promettant des salaires élevés. A leur arrivée dans la forêt, ils découvrent que leur paye a fondu. Des gardes leur interdisent de repartir. Les biens de première consommation leur sont fournis par le propriétaire. Ils s'endettent, et ne pourront jamais rembourser. "Ils étaient dans un état redoutable quand nous sommes arrivés", raconte un policier intervenu sur la ferme Vale do Rio Verde en 2005. Il n'y avait pas de sanitaires. Les ouvriers travaillaient pieds nus. Huit mille sept cents de ces esclaves ont été repérés dans les Etats producteurs de soja. En 2004, l'armée est intervenue dans 236 fermes utilisant 6 075 travailleurs, dont 127 enfants. Bunge, Cargill et Amaggi étaient en affaires avec elles.

Pour mieux aider à l'expansion du soja, des entreprises comme la Cooper Amazon proposent des pesticides et des semences génétiquement modifiées. "La chaîne est en place : d'un côté, Monsanto, de l'autre, Cargill", accuse Edilberto Sena. Les pesticides ont déjà provoqué des ravages écologiques, le vent portant ceux que déversent les avions jusque dans les rivières. En 2005, une sécheresse terrible a frappé la région. Les poissons mouraient dans des flaques trop petites. Aujourd'hui, 20 % de la forêt brésilienne est morte. Même si un moratoire mis en place en 2006 a donné des résultats positifs (41 % de baisse de la déforestation en 2006-2007), 40 % de l'Amazonie pourraient avoir disparu d'ici vingt ans.

Le pire, ce pire qu'espèrent Marcello et Patricia, est peut-être encore à venir : l'explosion des biocarburants. Vingt millions d'automobilistes brésiliens utilisent déjà l'éthanol. Les voitures "flex-fuel", qui laissent le choix entre éthanol et essence, ont représenté près de 80 % des ventes de voitures en 2005. Six cents stations- service commercialisent déjà un "biodiesel", dans lequel on retrouve du soja. Où vont s'installer les plantations ? "Le Brésil sera l'Arabie saoudite du XXIe siècle", prophétisent certains. Jusqu'au désert ?
Le temps que vous lisiez cet article, une superficie correspondant à 75 terrains de football a été déforestée.


Hubert Prolongeau avec Béatrice Marie
LE MONDE | 18.09.07 | 17h06 • Mis à jour le 18.09.07 | 17h06
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La France s'oriente vers un gel des cultures d'OGM

Le gouvernement français s'apprête à mettre un sérieux coup de frein à la dissémination des OGM (organismes génétiquement modifiés). Dans le cadre du "Grenelle de l'environnement", il prépare un gel de la commercialisation des semences OGM, tout en autorisant la poursuite des recherches en laboratoire.

Jean-Louis Borloo, ministre de l'écologie, du développement et de l'aménagement durable, l'a confié à un groupe de parlementaires de la majorité, qu'il avait invité lundi 17 septembre. Le ministre l'a confirmé au Monde : "Sur les OGM, tout le monde est d'accord : on ne peut pas contrôler la dissémination. Donc on ne va pas prendre le risque."
Cette décision est un des éléments qui doit permettre à M. Borloo d'obtenir un compromis général lors de la grande table ronde du Grenelle, qui se tiendra fin octobre.

Si cette position n'est pas encore officielle, elle enregistre les avancées réalisées dans le cadre du groupe OGM du Grenelle de l'environnement. Ce groupe, qui doit se réunir une nouvelle fois vendredi 21 septembre, est présidé par Jean-François Le Grand (sénateur UMP de la Manche). Il a déjà acté le principe d'une nouvelle loi sur les OGM, qui durcira les possibilités de cultures et encadrera beaucoup plus rigoureusement qu'aujourd'hui leur régime d'autorisation.
"J'ai eu plusieurs conversations avec Jean-Louis Borloo, dit Jean-François Le Grand. Il m'a dit clairement qu'il n'y aurait pas de moratoire, mais que toutes les autorisations sont actuellement gelées et que l'on prolongerait cette situation jusqu'au vote de la loi."

Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat à l'écologie, précise au Monde : "La question du moratoire est activement discutée et envisagée, mais le mot recouvre différentes réalités juridiques : sur les cultures, sur les essais en plein champ, sur tel ou tel OGM, par non-renouvellement des autorisations, etc. Rien n'est encore définitif."

Interrogé par Le Monde, Michel Barnier, ministre de l'agriculture, défend la recherche sur les OGM "quand elle conduit de manière modeste, limitée, contrôlée, à des cultures à vocation de recherche en plein champ". Mais "il y a une deuxième question qui ne doit pas être taboue, celle des cultures commerciales d'OGM – 22 000 hectares de maïs en 2007 en France. C'est une question ouverte, qui mérite une évaluation après dix années d'autorisation, en se posant la question du bénéfice global pour notre société"

Le gel se concrétisera par le refus de nouvelles autorisations d'ici le vote de la loi. La situation est facilitée par le fait que le seul OGM cultivé en France est un maïs appelé MON 810. Or son autorisation expire en 2007 et doit être renouvelée au niveau européen.
D'autres plantes sont dans les procédures d'autorisation. La France pourrait refuser de donner son accord, ce qui empêcherait la culture de maïs transgénique à grande échelle lors de la prochaine saison agricole.

CRÉATION D'UNE HAUTE AUTORITÉ

La loi renforcera le contrôle sur les cultures OGM. Elle instituera une Haute Autorité sur les biotechnologies comprenant notamment des scientifiques d'horizons divers et des associations. "Aujourd'hui, dit M. Le Grand, l'évaluation scientifique des OGM est monocolore, elle n'est faite que par des ingénieurs des biotechnologies. Il est acquis qu'on l'élargira à une approche pluridisciplinaire."
La Haute Autorité donnerait ses avis au gouvernement sur les nouveaux OGM, en intégrant une analyse toxicologique plus poussée, mais aussi l'étude de l'intérêt social et économique du produit transgénique.
La loi prévoirait aussi un régime de responsabilité en cas de contamination et un registre public des exploitations cultivant des OGM. La coexistence sera abordée selon le principe que "le choix des uns ne doit pas percuter ceux des autres, dit M. Le Grand. Il ne doit pas y avoir de pollinisation par des OGM de champs d'agriculture biologique"
Le gouvernement a envoyé un autre signal favorable aux opposants aux OGM. José Bové et quatre autres prévenus étaient convoqués le 19 septembre à Carcassonne pour avoir mené une action chez Monsanto, dans l'Aude, en 2006. Le procureur de la République, Jean-Paul Dupont, a recommandé le report du procès.
Le tribunal correctionnel de Carcassonne a fait plus que le suivre, puisqu'à la requête de la défense, il a décidé le report "sine die", signifiant qu'il se dessaisit du cas.
Dans d'autres procès prévus à Toulouse et à Chartres, les procureurs ont aussi demandé le report. Cette attitude montre que le gouvernement veut apaiser le débat sur les OGM.
Christophe Jakubyszyn et Hervé Kempf<>


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Libellés : agriculture, bio, faucheurs volontaires, grenelle, ogm, politique

jeudi 13 septembre 2007

Vidéo de Pierre RABHI


Pierre Rabhi
envoyé par Naturavox


NaturaVox a rencontré Pierre Rabhi, pionnier d’une agriculture respectueuse de l’environnement.

De l’agro-écologie au système agricole actuel en passant par l’agriculture biologique et le développement durable, Pierre Rabhi nous a apporté sa vision du système actuel, ses potentiels et ses limites...
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mercredi 12 septembre 2007

RFID * : "Intelligence", vie privée et . . . irradiation.


* Dossier Grand Public RFID (Radio Frequency IDentification)



Omniprésente lorsqu’il y a communication sans fil,les ondes RadioFréquences (RF) irradient en CEM toute matière vivante et créaient des interférences qui perturbent notre métabolisme cellulaire avec les conséquence délétères que l'on connaît.

L’implantation sous-cutanée d’une puce RFID démontre une parfaite méconnaissance
des dangers même à très faible dose des irradiations des RF, en effet on peut imaginer le pire, car la zone dite de sécurité du lobe omnidirectionnel d’irradiation de l’antenne avec les tissus et le sang est totalement inexistante.
(concernant l'antenne du téléphone portable elle est d'environ 23 mm).

Globalement, les puces, les étiquettes et les lecteurs RFID sont une source d’émission RF supplémentaire quantitativement dite de masse qui contribue au renforcement du champ électromagnétique ambiant appelé électrosmog.

Plusieurs types de fréquences cohabitent au sein de la technologie RFID:
- les basses fréquences : 125 à 135 KHz,
- les hautes fréquences : 13.56 MHz,
- les ultra hautes fréquences (UHF = Hyperfréquences Micro-Ondes)
de 433 MHz, 863 à 915 MHz et 2,446 à 2,454 GHz .

Grâce à la décision n° 2006-0841 de l'ARCEP, la puissance sur la bande de fréquence des hyperfréquences MO 865,6 à 867,6 MHz peut atteindre 2 Watts, elle est donc identique à celle des téléphones portables en fréquence (900 MHz) et en puissance !.
L’interrogation par RF de la puce RFID,(encapsulation d'un microcircuit associé à une antenne en cuivre spiralée)se réalise grâce à un lecteur qui peut prendre diverses formes,ceci sans contact physique, ni visée directe puisque les lobes d’irradiation
de l’antenne du lecteur/émetteur, de la puce ou de l’étiquette sont omnidirectionnels.

Les déclinaisons des liaisons RF peuvent être actives, semi-passives ou passives,
dans ce cas l’énergie nécessaire à la transmission des informations stockées est fournie au moment de la lecture par . . . un champ électromagnétique émis par le lecteur, qui produit par induction un courant électrique permettant à l’antenne d’émettre un signal RF en retour.




Les applications sont multiples, néanmoins toute personne qui porte une puce ou un objet comportant une étiquette RFID cachée (donc sans le savoir), peut-être soumise lors de ses déplacements à des dizaines, voire des centaines de connections à son insu.


Les puces RFID dites actives ont généralement une portée assez importante qui peut atteindre plusieurs dizaines de mètres.

Nous n’aborderons pas l’aspect concernant la protection de la vie privée, néanmoins, en France on ne peut-être plus clair avec la CNIL : toute identification réalisée à l’insu de la personne est interdite,en conséquence il n’est pas nécessaire de rajouter un commentaire pour comprendre que la loi est totalement bafouée.

Ceux qui objectent que les puces électroniques contiennent un identifiant de type EPC (Electronic Product Code) sont néanmoins confrontés à la réalité de sa non fiabilité, comme le prouve un test réalisé par la Annalee Newitz journaliste au magazine "Wired",qui deux heures après s’être faite implanter une puce, a été victime d’une usurpation de son identité par un informaticien qui avait réussi à récupérer son identifiant et à contrefaire sa puce, etc . . .
Interrogé par Annalee Newitz au sujet du piratage de sa puce RFID sous-cutanée, John Proctor, directeur de la communication de Verichip, reconnaît qu’elle ne devrait mais être utilisée seule, mais couplée à une vérification . . . des papiers d’identité !.


Plus radicalement, il existe des appareils qui évidemment détectent,mais aussi peuvent détruire les puces en produisant un champ électromagnétique bref mais intense qui "grille" littéralement la puce, mais attention cela peut-être assimilé
à un "outil illégal".

Comme pour la téléphonie mobile,la problématique avec les puces RFID est EXPLOSIF car plus personne ne contrôle plus rien, l’ARCEP en premier,tout simplement car cela est devenu de facto impossible de part le contexte émergeant de convergence sans fin en cours créé par l’évolution multi technologique des réseaux notamment WiFi, WiMax, etc . . .

Décidément, co-promoteur du dérèglement climatique,l’électrosmog devient un paysage qui s’assombrit de plus en plus,
en conséquence . . . le processus global d’extinction ne peut que s’accélérer.

Next-up

Les puces RFID mises en cause dans les tumeurs de la souris

Les implants de puces RFID sont cancérigènes

Les implants RFID au coeur d'un prochain scandale sanitaire ?

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Mondialisation... de l'extinction : L'extinction des espèces s'accélère

L'extinction des espèces s'accélère

LEXPRESS.fr

La liste rouge 2007 dressée par l’Union mondiale pour la nature fait état d'une "escalade de la crise d'extinction". 16 306 espèces sont menacées, soit 188 de plus que l'an dernier.

L’Union mondiale pour la nature (UICN) a publié mercredi sa liste rouge des espèces animales et végétales menacées. Ce réseau, composé de 10 000 scientifiques et experts de 147 pays fait autorité en la matière.

Selon l'UICN, le rapport 2007 est inquiétant, car la vie sur Terre disparaît rapidement et continuera de disparaître si des mesures ne sont pas prises de toute urgence. "L’expérience montre que les programmes de conservation peuvent donner de bons résultats mais malheureusement, cette année, nous n'annonçons d'amélioration que pour une seule espèce" regrette Jean-Christophe Vié, Chef adjoint du Programme de l’UICN.

16 306 espèces sont en effet menacées d'extinction contre 16 118 recensée l'an dernier. 70 % de toutes les plantes évaluées par l’organisation sont en péril. Pour Julia Marton-Lefèvre, directrice générale l'UICN, les efforts « déployés à ce jour pour protéger les espèces sont insuffisants ». Elle estime qu’il est possible de « mettre un terme à cette crise mondiale de l'extinction (…) mais uniquement dans le cadre d'un effort concerté à tous les niveaux de la société. »

Espèces marines menacées

L’étude révèle qu’un oiseau sur huit, un mammifère sur quatre et un tiers de tous les amphibiens sont en péril. Pour la première fois, des coraux ont été évalués par l'UICN et dix espèces des Galápagos ont fait leur entrée sur la liste dont deux dans la catégorie "En danger critique d'extinction", victimes du réchauffement climatique. Une autre espèce marine a elle aussi fait son entrée sur la liste rouge. Il s’agit du poisson-cardinal de l’île de Banggai (Indonésie) ou apogon de Kaudern, très recherché par les amateurs d'aquariums.

Grands singes sur la selette

Une nouvelle étude de la population des grands singes a révélé que les gorilles de l’Ouest sont en danger critique d’extinction. L’espèce a nettement souffert du commerce de viande et de brousse et du virus Ebola.
L'orang-outan de Sumatra souffre quant à lui du défrichage des forêts pour faire place à des plantations de palmiers à huile. La superficie de ces plantations est passée de 2000 km² à 27 000 km² entre 1984 et 2003, réduisant considérablement l'habitat disponible pour l'espèce dans toute l'île. Souvent, l'activité humaine constitue le principal facteur de fragilisation des espèces. Le taux d'extinction actuel est au moins 100 à 1000 fois supérieur au taux naturel.


terresacree.org

La planète est le bien commun de l'humanité. En prendre soin donne un sens à la vie.
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Libellés : deforestation, espèces menacées, extinction, mondialisation, pollution, terre sacrée, UICN

Microsoft et FIAT vont vous faire rouler écolo avec une clé USB

Fiat EcoDrive avec Microsoft


Si vous voulez rouler écolo, ne comptez pas trop sur les biocarburants. Véritables désastres écologiques responsables de déforestations massives notamment en Malaisie, sources d'un bilan énergétique contesté (voir Wikipedia) et responsables en partie de l'explosition des prix du maïs et donc de nouvelles famines, les biocarburants servent principalement les intérêts des agriculteurs et des gouvernements. Les premiers y voient les moyens de leur survie, voire un véritable or vert, quand les seconds y voient le moyen de remplacer les politiques de subvention de la filière agricole, responsables de nombreuses tensions commerciales internationales, notamment en Europe.

En attendant d'éventuels biocarburants de seconde génération, meilleurs écologiquement mais moins prisés politiquement, il faut donc encore et toujours s'en remettre à son propre comportement. Heureusement, Microsoft et FIAT vous nous y aider. Les deux partenaires ont annoncé lors du salon automobile de Frankfort leur solution EcoDrive, qui sera proposée dès 2008 sur certains véhicules du groupe (Fiat, Alfa Romeo, Iveco et Lancia) équipés de la plate-forme Blue&Me. Le système recueille les données sur les performances écologiques du véhicule pendant la conduite, lesquelles peuvent être ensuite chargées par le conducteur sur une clé USB. Le conducteur peut alors consulter sur son ordinateur les données relatives à chaque trajet, et lire les précieux conseils que lui prodiguera le programme de Microsoft (ne pas accélérer comme un idiot si vous voyez une voiture arrêtée au feu rouge à 200 mètres devant vous, par exemple...). Un portail communautaire sera même mis en place par FIAT pour permettre aux conducteurs de comparer leurs performances.

Double avantage, rouler écolo c'est aussi économiser de l'essence, et donc réduire les factures de carburants.

ratiatum.com

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mardi 4 septembre 2007

Lettre ouverte d'un faucheur volontaire à Michel Barnier, Ministre de l'Agriculture.

Copie à : Nicolas Sarkozy, Président de la République, François Fillon, Premier Ministre, Jean-Louis Borloo, Ministre de l'Ecologie, du Développement et de l'Aménagement Durables, Nathalie Kosciusko-Morizet, Secrétaire d'Etat à l'Ecologie, Christine Lagarde, Ministre de l'Economie, des Finances et de l'Emploi, et à tous les membres du groupe de travail sur les modes de production et de consommation durables du Grenelle de l'Environnement.


Monsieur le Ministre,

C'est avec un vif intérêt que j'ai lu, Monsieur le Ministre, votre article dans la rubrique débat du Figaro paru le 14 août dernier. Intérêt mêlé de stupéfaction. Je savais la nouvelle équipe gouvernementale dont vous faites partie désireuse de travailler rapidement, à un rythme soutenu, mais pas au point de bousculer l'ordre naturel des événements. Or c'est bien ce qui est arrivé ce 14 août. Vous avez rendu, sous la forme d'un credo enthousiaste, les conclusions du Grenelle de l'Environnement en matière d'OGM avant même que celui-ci ait tenu ses assises. L'exercice paraît hardi car le grand débat environnemental qui doit donner ses conclusions en octobre pourrait rapidement sombrer dans ce court-circuit temporel.

Peut-on, comme vous le faites, chanter les mérites des cultures OGM avec une ferveur plus ostentatoire dans le contexte actuel ? Les plantes transgéniques s'inscriraient dans une longue histoire d'innovations agricoles commencée il y a plus de 9000 ans. De la pure tradition en quelque sorte. Elles seraient porteuses de promesses fortes tant au niveau agricole, industriel, médical qu'environnemental et nous permettraient de garder une agriculture indépendante et autosuffisante. Avec les 100 000 hectares de cultures OGM actuellement implantées en Europe, vous nous annoncez que nous n'en sommes encore qu'aux prémices dans ce domaine. Pas un seul bémol venant tempérer la louange. La messe est donc dite. Concluons que l'avenir est tout tracé pour les OGM en France et que le Grenelle de l'environnement ne pourra rien apporter d'autre que des mesurettes d'encadrement destinées à freiner les contaminations inéluctables des cultures conventionnelles et biologiques et à temporiser le sabordage de nos labels de qualité.

Nous pourrions penser que tout n'est pas encore joué puisqu'il nous qu'il nous reste un Super Ministre de l'environnement qui va nous arranger tout cela. Ce serait sans compter sur l'action de votre collègue, Christine Lagarde, ministre de l'économie, ex-avocate des milieux d'affaires américains (Baker & Mc Kenzie) et véritable loup dans la bergerie environnementale. Christine Lagarde soutient le Mouvement pour un Organisme Mondial de l'Agriculture qui concentre toute l'agro-industrie favorables aux OGM. Il n'est donc pas surprenant que pendant son court mandat ministériel à l'agriculture de mai à juin, elle ait voté en faveur de la scandaleuse modification du règlement européen sur l'agriculture biologique qui permet un seuil de contamination de 0.9% du bio par les OGM. Pas surprenant non plus qu'elle ait également réussi à repousser l'idée, avancée par Alain Juppé, d'un moratoire sur le Maïs transgénique Mon810 actuellement cultivé en France et interdit un peu auparavant en Allemagne.

Le lobby des OGM est donc bien ancré dans l'actuel gouvernement. Que reste-t-il donc, à nous citoyens, comme espace de débat sur les questions agricoles ? Aucun ! Ce débat peut-il être, dans ces conditions, démocratique et apaisé comme vous semblez le souhaiter ? Pour que ce débat ait pu être serein, il aurait fallu, comme l'a demandé une délégation de faucheurs volontaires reçue le 31 juillet dernier au ministère de l'Ecologie, que le gouvernement instaure un moratoire immédiat sur les cultures et sur les importations de produits transgéniques en France. Ce moratoire est même - vous ne l'ignorez pas - l'une des lignes rouges conditionnant la tenue du Grenelle en octobre. Pourquoi ?

Parce qu'en l'absence de ce signe fort, le message semble clair : les choix du gouvernement sont déjà établis sur les questions agricoles. Or il ne peut s'agir, en la matière que de choix très tranchés. En effet, les politiques ou les industriels qui veulent aujourd'hui nous vendre une coexistence entre les cultures OGM et non-OGM, en arguant faussement de la liberté de choix, sont des marchands de vent. Cette coexistence, nous la savons impossible non par idéologie mais par expérience. Car les pays qui cultivent les OGM sont des observatoires qui permettent de tenir à jour un registre[1] très explicite des contaminations dans le monde. Disons-le une fois pour toute : l'avènement des cultures transgéniques signe la fin de toute autre forme d'agriculture.

Une contamination génétique, tout comme un feu de forêt, se propage avec le vent, peut sauter des zones " incombustibles ", non fertiles, et diffuser au loin. C'est pourquoi, les faucheurs volontaires, loin d'être les vandales que l'on veut bien stigmatiser, sont des lanceurs d'alerte et les " pompiers " de ce très redoutable feu transgénique. Ils sont là pour dire simplement : après avoir provoqué un dérèglement climatique, ne déclenchons pas un dérèglement génétique irréversible. Cessons cette fuite en avant, guidée par une aveugle idéologie du progrès !

Les alternatives aux cultures transgéniques existent et ont fait leurs preuves depuis plusieurs décennies. Elles peuvent garantir notre indépendance et notre souveraineté alimentaires tout en préservant l'environnement et la santé publique sans méprise. Elles reposent sur les différentes formes de l'agriculture biologique que l'ancien ministre de l'agriculture, Dominique Bussereau, n'avait pas hésité à placer au rang de l'excellence. Soyons innovants, modernes et raisonnables : faisons dès maintenant le choix de l'agriculture biologique. Lançons sans tarder un vaste programme de reconversion du système agricole français dans cette nouvelle direction. Demain, le monde entier pourrait nous envier cette audace. Monsieur le Ministre, le gouvernement auquel vous appartenez a voulu la rupture : pour notre agriculture, elle est là, à portée de main.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de mes salutations respectueuses.

Paris, le 22 août 2007

Sébastien Arribas
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Libellés : agriculture, bio, business, écologie, faucheurs volontaires, grenelle, ogm, politique

dimanche 2 septembre 2007

2007Ouragan Dean : l’indemnisation des agriculteurs ne doit pas se faire à n’importe quel prix !

Communiqué de Presse France Nature Environement

A l’occasion de la visite du ministre de l’Agriculture, Monsieur Michel Barnier, les 31 août et 1er septembre aux Antilles, les bananiers vont faire pression pour obtenir une aide substantielle du gouvernement, afin de remettre rapidement la machine infernale en route, après les ravages causés par l’ouragan Dean.
La fédération FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT (FNE) et l’ASSOCIATION POUR LA SAUVEGARDE DU PATRIMOINE MARTINIQUAIS (ASSAUPAMAR), une de ses associations membres, rappellent que depuis plus de 30 ans, les sols et eaux martiniquais ont été gravement contaminés par l’utilisation intempestive de pesticides comme le chlordécone et le paraquat.

Arnaud Gossement, porte-parole de FNE, précise : « Alors même que la dangerosité de ces produits est bien connue et que leur utilisation est clairement proscrite par les Etats-Unis et plus récemment par la Communauté européenne, la France continue de faire preuve d’un grave laxisme en laissant s’écouler les stocks de paraquat sur le marché ».

La France envisage aujourd’hui de verser des aides substantielles aux gros producteurs de bananes, principaux utilisateurs de ces produits. Si FNE et l’ASSAUPAMAR comprennent les difficultés auxquelles doit aujourd’hui faire face le secteur agricole martiniquais, elles estiment que ces aides ne doivent pas être versées sans contrepartie.

Pour Pascal Tourbillon, secrétaire général de l’ ASSAUPAMAR, « les évènements récents doivent être l’occasion de repenser l’agriculture martiniquaise, pour qu’elle nourrisse les martiniquais. Il conviendrait d’assujettir les aides à une politique de décontamination systématique des sols, d’aider les agriculteurs à se reconvertir et de mettre en place des conditions de développement d’une agriculture plus respectueuse de l’environnement ».

La production de bananes, sur laquelle le système agricole martiniquais mise tant aujourd’hui, exige beaucoup d’eau et occasionne des pollutions graves. Sans compter que ce produit se vend très mal à l’étranger !
FNE et l’ASSAUPAMAR demandent donc au ministre de l’Agriculture de mesurer la portée des aides qui seront promises au secteur agricole antillais et d’accompagner les départements d’Outre-Mer concernés vers un changement durable et respectueux de l’environnement de leurs pratiques agricoles.

FNE rappelle sa demande, dans le cadre du Grenelle de l’environnement, d’une diminution de moitié des traitements pesticides en agriculture et d’une taxation dissuasive des molécules les plus dangereuses. Il est impératif que l’eau, l’air, les sols retrouvent un équilibre indispensable à la santé humaine.


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