* Dossier Grand Public RFID (Radio Frequency IDentification)
Omniprésente lorsqu’il y a communication sans fil,les ondes RadioFréquences (RF) irradient en CEM toute matière vivante et créaient des interférences qui perturbent notre métabolisme cellulaire avec les conséquence délétères que l'on connaît.
L’implantation sous-cutanée d’une puce RFID démontre une parfaite méconnaissance
des dangers même à très faible dose des irradiations des RF, en effet on peut imaginer le pire, car la zone dite de sécurité du lobe omnidirectionnel d’irradiation de l’antenne avec les tissus et le sang est totalement inexistante.
(concernant l'antenne du téléphone portable elle est d'environ 23 mm).
Globalement, les puces, les étiquettes et les lecteurs RFID sont une source d’émission RF supplémentaire quantitativement dite de masse qui contribue au renforcement du champ électromagnétique ambiant appelé électrosmog.
Plusieurs types de fréquences cohabitent au sein de la technologie RFID:
- les basses fréquences : 125 à 135 KHz,
- les hautes fréquences : 13.56 MHz,
- les ultra hautes fréquences (UHF = Hyperfréquences Micro-Ondes)
de 433 MHz, 863 à 915 MHz et 2,446 à 2,454 GHz .
Grâce à la décision n° 2006-0841 de l'ARCEP, la puissance sur la bande de fréquence des hyperfréquences MO 865,6 à 867,6 MHz peut atteindre 2 Watts, elle est donc identique à celle des téléphones portables en fréquence (900 MHz) et en puissance !.
L’interrogation par RF de la puce RFID,(encapsulation d'un microcircuit associé à une antenne en cuivre spiralée)se réalise grâce à un lecteur qui peut prendre diverses formes,ceci sans contact physique, ni visée directe puisque les lobes d’irradiation
de l’antenne du lecteur/émetteur, de la puce ou de l’étiquette sont omnidirectionnels.
Les déclinaisons des liaisons RF peuvent être actives, semi-passives ou passives,
dans ce cas l’énergie nécessaire à la transmission des informations stockées est fournie au moment de la lecture par . . . un champ électromagnétique émis par le lecteur, qui produit par induction un courant électrique permettant à l’antenne d’émettre un signal RF en retour.
Nous n’aborderons pas l’aspect concernant la protection de la vie privée, néanmoins, en France on ne peut-être plus clair avec la CNIL : toute identification réalisée à l’insu de la personne est interdite,en conséquence il n’est pas nécessaire de rajouter un commentaire pour comprendre que la loi est totalement bafouée.
Ceux qui objectent que les puces électroniques contiennent un identifiant de type EPC (Electronic Product Code) sont néanmoins confrontés à la réalité de sa non fiabilité, comme le prouve un test réalisé par la Annalee Newitz journaliste au magazine "Wired",qui deux heures après s’être faite implanter une puce, a été victime d’une usurpation de son identité par un informaticien qui avait réussi à récupérer son identifiant et à contrefaire sa puce, etc . . .
Interrogé par Annalee Newitz au sujet du piratage de sa puce RFID sous-cutanée, John Proctor, directeur de la communication de Verichip, reconnaît qu’elle ne devrait mais être utilisée seule, mais couplée à une vérification . . . des papiers d’identité !.
à un "outil illégal".
Comme pour la téléphonie mobile,la problématique avec les puces RFID est EXPLOSIF car plus personne ne contrôle plus rien, l’ARCEP en premier,tout simplement car cela est devenu de facto impossible de part le contexte émergeant de convergence sans fin en cours créé par l’évolution multi technologique des réseaux notamment WiFi, WiMax, etc . . .
Décidément, co-promoteur du dérèglement climatique,l’électrosmog devient un paysage qui s’assombrit de plus en plus,
en conséquence . . . le processus global d’extinction ne peut que s’accélérer.
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