Simon Koch - 14/01/2008
Le Matin Bleu
Ces animaux ont tous pour géniteur un supertaureau américain prénommé «Revenge-ET», lui-même né d'une vache clonée. En Suisse, sa semence a donné le jour à quelque 200 veaux, dont la moitié a été consommée sans indication, selon «Blick». Seul leurs éleveurs savent à quels bouchers ils ont vendu leurs animaux, clonés à la 3e génération.
Aucune loi suisse n'interdit l'importation d'animaux clonés ni la vente de leurs produits, selon l'Office vétérinaire fédéral. Un risque pour la santé du consommateur? Le débat divise l'Europe. Le principal syndicat d'agriculteurs italien voit dans les produits clonés un «risque inacceptable». Cette prise de position faite hier répond à l'Autorité européenne de sécurité alimentaire. Vendredi, cette dernière a estimé «très improbable» une différence de sécurité entre les produits issus du clonage et les autres.
A la Fédération romande des consommateurs (FRC), on est plus prudent. «Le mode de production de la viande devrait être indiqué sur l'emballage pour que le consommateur puisse choisir, au moins en attendant de connaître les implications directes de la viande clonée», explique Aline Clerc, responsable des questions d'alimentation à la FRC
Source via Terre Sacrée.org
Le Matin Bleu
Ces animaux ont tous pour géniteur un supertaureau américain prénommé «Revenge-ET», lui-même né d'une vache clonée. En Suisse, sa semence a donné le jour à quelque 200 veaux, dont la moitié a été consommée sans indication, selon «Blick». Seul leurs éleveurs savent à quels bouchers ils ont vendu leurs animaux, clonés à la 3e génération.
Aucune loi suisse n'interdit l'importation d'animaux clonés ni la vente de leurs produits, selon l'Office vétérinaire fédéral. Un risque pour la santé du consommateur? Le débat divise l'Europe. Le principal syndicat d'agriculteurs italien voit dans les produits clonés un «risque inacceptable». Cette prise de position faite hier répond à l'Autorité européenne de sécurité alimentaire. Vendredi, cette dernière a estimé «très improbable» une différence de sécurité entre les produits issus du clonage et les autres.
A la Fédération romande des consommateurs (FRC), on est plus prudent. «Le mode de production de la viande devrait être indiqué sur l'emballage pour que le consommateur puisse choisir, au moins en attendant de connaître les implications directes de la viande clonée», explique Aline Clerc, responsable des questions d'alimentation à la FRC
Source via Terre Sacrée.org
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